Faites de beaux rêves en lisant!

L'auteur

Né en 1956 à Besançon, je suis marié et père de deux enfants. Je vis aujourd'hui dans un village proche de Besançon qui s'appelle Recologne.

Pendant plusieurs décennies, j'ai exercé , avec beaucoup de plaisir , le métier de professeur des Ecoles, en milieu rural. Ma vie professionnelle est terminée depuis juillet 2013.

L'écriture a toujours tenu une place importante dans ma vie. J'affectionne particulièrement la poésie que je veux défendre contre vents et marées dans une époque où elle a de moins en moins droit de cité.

La nouvelle aventure de l'écriture a commencé le jour où , sur un site réservé à la poésie, j'ai présenté quelques-unes de mes oeuvres qui ne tarderont pas à être appréciées par de nombreux internautes. C'est le déclic! Commence ensuite une nouvelle étape: la publication de mes poèmes.

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                                   a.guillaume17@wanadoo.fr

 

 

 

 

Le dernier livre que j'ai lu ( titre ) donner son avis

Date 18/08/2012
Par Inside the Outside
Sujet allégorie sociale moderne

Inside the Outside était un titre prometteur, mais qui a vite tourné au roman dérangeant, le genre qui colle à la peau. Dans tous les sens d'ailleurs. Impossible de raccrocher, impossible aussi d'y prendre un vrai plaisir. Genre indescriptible, entre horrible à rendre malade et superbement allégorique d'une société corrompue à l'extrême. On y parle de meurtre dans un contexte sectaire dégueulasse, où l'homme y est un loup pour l'homme... On y parle de sexe, du genre qui fait peu envie et fait de nos êtres des bêtes d'instincts et de violence. Mais on tient bon, le volume intitulé The Outside marque un tournant dans le récit, qui laisse davantage de place à une intrigue plus fluide, certainement moins dérangeante, le lien entre The Divinity et le monde réel. Le personnage de Charlotte Luna révélé nous ramène à une réalité plus acceptable, moins dérangeante.

Je suis forcé d'admettre que j'ai aimé le roman de Martin Lestrapes, si gênant soit-il par moments. Le style est drôle, maîtrisé, brut, intéressant. Lestrange n'utilise pas de pronoms pour référencer ses personnages et les objets récurrents du roman, notamment le "rusty orange pickup truck" de Three Marlow. Bref, du solide, au-delà de l'histoire, dans les degrés et les tours multiples que prend le roman.

Date 20/07/2012
Par Wool
Sujet chronique de l'enfermement

Ce qui reste de l'humanité vit dans un immense silo sous-terrain, qui s'enfonce dans les entrailles de la terre. L'air pollue la surface où les toxines sont depuis plusieurs générations mortelles pour tout organisme qui s'y aventure. Aussi un microcosme au bord de la révolution vit dans l'enfermement le plus total, contrôlé par l'élément clé de toute dystopie, la manipulation de l'esprit et l'interdiction de la connaissance. Nul ne sait que les silos sont au nombres de 50, nul ne sait que plusieurs d'entre eux se sont déjà auto-détruits, victime d'insurrections qui n'ont laissées aucun survivant. Par volonté d'explorer la surface de la terre, par envie irrépressible d'ailleurs. Morts. Condamnés immédiatement à ce qu'il souhaitent: sortir, aller voir à la surface, et y nettoyer les caméras qui donnent l'unique aperçu du monde d'en-haut, vision apocalyptique de la terre dans un futur indéterminé. Le sheriff Holston nous guide au dehors, puis la jeune Juliette nous mènera vers le cœur du silo, vers ces mondes sous-terrains où les êtres humains ne se résignent pas à l'enfermement. C'est un roman exceptionnel, de plus de 500 pages - et pas une de trop -, dont les droits ont déjà été acquis par Ridley Scott, qui le portera à l'écran. Je me suis régalé, de bout en bout. Un auteur auto-publié sur amazon, un talent hallucinant.

Date 10/06/2012
Par Alice in Deadland
Sujet allégorie d'Alice au pays...

Drôle, moderne, ingénieux. Réussi. Pas simple de transposer Alice du pays où les cartes complotent autour de leur reine, à un mélange futuriste entre Mad Max et Avatar. Pourtant ça marche et on se laisse porter par ce drôle de personnage guerrier, jeune fille de 15 ans armée jusqu'aux dents qui conduit le reste de l'humanité sur la trace de zombies effrayants. Manipulées, exploitées par le pouvoir exacerbé des dernières élites politiques, financières et autocrates, les régions d'Asie, d'Amérique et d'Europe sont tombés sous le joug d'une conspiration où les êtres humains ne sont plus que morts-vivants assoiffés de sang, une espèce nouvelles et redoutée, l'inconnu qui menace notre reste d'avenir. Le message est louable, mais l'histoire prend le pas. Réussi, vraiment. Les zombies, les créatures ténébreuses, ce n'est pas ma littérature, et tous les à-priori tombent, les uns après les autres.

Date 18/05/2012
Par Youth
Sujet naissance de la science fiction

Dans la foulée de Fahrenheit 451, voici Isaac Asimov, le créateur notamment des chroniques de I, Robot. Il aborde sous le format nouvelle le mythe de l'existence et de l'invasion de créatures venues d'un autre monde. Il est surtout l'un des tout premiers à le faire. La menace qu'ils représentent n'est ici qu'un microcosme, miroir peu enchenteur de nos propres peurs à l'échelle de l'univers. Un peu vieux-jeu pour les lecteurs du 21è siècle, sans doute, c'est le seul manuscrit d'Asimov où il aborde la question des extra-terrestres, lui qui met toujours en scène les avancées de la robotique et des machines futuristes qui nous privent peu à peu de notre libre arbitre. On pense Terminator, on pense I, Robot justement. Intéressant dans son contexte. Sans plus.

Date 30/04/2012
Par Farenheit 451
Sujet dystopie futuriste

Ray Bradbury est un des précurseur de la science fiction moderne. Mais ici ni alien ni robots futuristes, mais un dictat de la société du "futur" dépeint en 1953. Tout y est comme si Bradbury revenait du futur (!). L'appauvrissement de l'esprit jusqu'à l'interdiction des livres et leur autodafé. Le refuge systématique dans l'image, l'abrutissement télévisuel quand les murs de la maison sont devenus autant d'écrans géants. Criant de véracité, un peu inquiétant aussi cette image projetée de ce que nous sommes en partie devenus. Proche du "1984" de George Orwell, ce monde-là est bien le nôtre, assombri, inspiré bien entendu d'une guerre planétaire trop récente et d'une guerre froide qui commence. Pas facile à lire, le style est brutal, direct, sans ambages, mais le message est clair et Badbury ne perd jamais son objectif de vue, ne cède jamais aux appels d'une écriture plus policée. J'ai aimé, même si j'ai sans doute attendu trop d'années avant de la découvrir, bien après Wells et Asimov.

 

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